Ex. 14 **Réécrivez ce passage en remplaçant elle par elles. Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Elle souff
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salomesivignon
Question
Ex. 14 **Réécrivez ce passage en remplaçant elle
par elles.
Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes
les délicatesses et tous les luxes. Elle souffrait de la
pauvreté de son logement, de la misère des murs, de
l'usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces
choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait
pas aperçue, la torturaient et l'indignaient. La vue de la
petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait
en elle des regrets désolés et des rêves éperdus [...] Elle
avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle
ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant.
Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de
regret, de désespoir et de détresse.
Guy de Maupassant, « La Parure », 1884.
Jincow
par elles.
Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes
les délicatesses et tous les luxes. Elle souffrait de la
pauvreté de son logement, de la misère des murs, de
l'usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces
choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait
pas aperçue, la torturaient et l'indignaient. La vue de la
petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait
en elle des regrets désolés et des rêves éperdus [...] Elle
avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle
ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant.
Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de
regret, de désespoir et de détresse.
Guy de Maupassant, « La Parure », 1884.
Jincow
1 Réponse
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1. Réponse mramadier
Réponse:
Elles souffraient sans cesse, se sentant nées pour toutes
les délicatesses et tous les luxes. Elles souffraient de la
pauvreté de leur logement, de la misère des murs, de
l'usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces
choses, dont une autre femme de leur caste ne se serait
pas aperçue, les torturaient et les indignaient. La vue de la
petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait
en elles des regrets désolés et des rêves éperdus [...] Elles
avaient des amies riches, des camarades de couvent qu'elles
ne voulaient plus aller voir, tant elles ouffraient en revenant.
Et elles pleuraient pendant des jours entiers, de chagrin, de
regret, de désespoir et de détresse.