Réécrivez le texte suivant au passé en conjuguant les verbes au temps qui convient : imparfait ou passé simple, pour retrouver l’extrait de Métaphysique des tub
Français
chocoltprincess
Question
Réécrivez le texte suivant au passé en conjuguant les verbes au temps qui convient : imparfait ou passé simple, pour retrouver l’extrait de Métaphysique des tubes, d’Amélie Nothomb.
Le Futatabi est un sanctuaire végétal. Même en vivant au coeur de la beauté, ce qui est mon cas, on ne peut qu’être subjuguée par la superbe de cette nature arrangée. Les arbres semblent conscients de leur prestige.
Nous arrivons à la pièce d’eau. Je distingue un grouillement de couleurs. De l’autre côté de l’étang, un bonze vient jeter des granules : je vois des carpes sauter pour les attraper. Certaines sont énormes. C’est un jaillissement irisé qui va du bleu acier à l’orange en passant par le blanc, le noir, l’argent et l’or.
Le Futatabi est un sanctuaire végétal. Même en vivant au coeur de la beauté, ce qui est mon cas, on ne peut qu’être subjuguée par la superbe de cette nature arrangée. Les arbres semblent conscients de leur prestige.
Nous arrivons à la pièce d’eau. Je distingue un grouillement de couleurs. De l’autre côté de l’étang, un bonze vient jeter des granules : je vois des carpes sauter pour les attraper. Certaines sont énormes. C’est un jaillissement irisé qui va du bleu acier à l’orange en passant par le blanc, le noir, l’argent et l’or.
2 Réponse
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1. Réponse cassied
Le Futatabi était un sanctuaire végétal. Même en aillant vécu au cœur de la beauté, ce qui fut mon cas, on ne pouvait qu'être subjuguée par la superbe de cette nature arrangée. Les arbres semblaient conscients de leur prestige.
Nous arrivâmes à la pièce d'eau. Je distinguais un grouillement de couleurs. De l'autre côté de l'étang, un bronze vient jeter des granules : je voyais des carpes sauter pour les attraper. Certaines étaient énormes. Ce fut un jaillissement irisé qui alla du bleu acier à l'orange en passant par le blanc, le noir l'argent et l'or.
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2. Réponse maudmarine
Le Futatabi était un sanctuaire végétal. Même en vivant au coeur de la beauté, ce qui fut mon cas, on ne pouvait qu’être subjuguée par la superbe de cette nature arrangée. Les arbres semblaient conscients de leur prestige.
Nous arrivions à la pièce d’eau. Je distinguais un grouillement de couleurs. De l’autre côté de l’étang, un bonze venait jeter des granules : je vis des carpes sauter pour les attraper. Certaines étaient énormes. Ce fut un jaillissement irisé qui allait du bleu acier à l’orange en passant par le blanc, le noir, l’argent et l’or.