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Question

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En entrant dans le cinéma, la voiture de mes amis était stationné dans l’entrée, je n’étais pas certaine que c’est a eux alors j’ai rentré dans le cinéma comme si rien n’était. Je n'ai pas vu le surveillant immédiatement. Je l'ai cherché quelques minutes pour enfin le trouver dans la même chambre que l'autre jour. Il m'a fait un signe de la tête pour me dire d'attendre quelques instants. Je me suis confortablement installé sur un banc en bois sans y être quand même très à l'aise et j'ai patienté calmement. L'attente m'a semblé durer une éternité. Finalement, après une heure, le garde est arrivé et je lui ai donné l'argent qu'il m'avait demandé. Tout en souriant malicieusement, sournoisement et cruellement, il a empoché la somme. Je me suis retourné pour repartir chez moi, mais c'est à ce moment particulier, que le problème a réellement débuté. Il me prit par le bras en mettant sa main sur ma bouche pour ne pas que je fasse de bruit. Mon intimidateur m'a tranquillement guidé dans la chambre qui se situait à quelques mètres de lui. Dans cette pièce délabrée, sombre et lugubre se trouvaient mes amis qui étaient assis sur la table et qui paraissaient savoir que je parviendrais à eux. Derrière eux, se trouvent des policiers qui tiennent dans leurs mains ma photo. Je me retourne pour voir le surveillant, mais je le vois pointer aussitôt son fusil contre mon dos. ''Lève tes mains dans les airs '', s'écria l'un des policier, un homme costaud tel Hercule. Son regard était froid et insensible, il me terrifiait. Par crainte d'être arrêtée, j'ai essayé de m'enfuir, mais c'est alors que le surveillant me pousse et que je tombe à terre. << Ça suffit, arrête de t’échapper et assume ce que tu as fait, avoue que c’est toi qui a empoisonné notre ami en mettant du poison dans son boisson !>>, Hurla Jules, un ancien ami. Mes jambes élancées tremblaient vigoureusement. Comment pouvait-il exposer nos secrets .Il venait tout juste de briser les liens d’amitié qu’on a depuis notre enfance. C’est alors que le surveillant dévoila son identité de FBI pour montrer qu’il faisait partit du plan. Mes amis ont tous dévoilés les meurtres, les vols et les empoisonnements que j’ai commis dans les années auparavant. J’étais coincé, sans point de retour, il fallait que je dise la vérité de ce qui s’est vraiment passé. Mais devais-je vraiment me mettre en trouble?

2 Réponse

  • En entrant dans le cinéma, la voiture de mes amis était stationnée dans l’entrée, je n’étais pas certaine que ce soit eux, alors je suis rentrée dans le cinéma comme si rien n’était. Je n'ai pas vu le surveillant immédiatement. Je l'ai cherché quelques minutes pour enfin le trouver dans la même chambre que l'autre jour. Il m'a fait un signe de la tête pour me dire d'attendre quelques instants. Je me suis confortablement installée sur un banc en bois sans y être quand même très à l'aise et j'ai patienté calmement. L'attente m'a semblé durer une éternité. Finalement, après une heure, le garde est arrivé et je lui ai donné l'argent qu'il m'avait demandé. Tout en souriant malicieusement, sournoisement et cruellement, il a empoché la somme. Je me suis retournée pour repartir chez moi, mais c'est à ce moment particulier, que le problème a réellement débuté. Il me prit par le bras en mettant sa main sur ma bouche pour ne pas que je fasse de bruit. Mon intimidateur m'a tranquillement guidé dans la chambre qui se situait à quelques mètres de lui. Dans cette pièce délabrée, sombre et lugubre se trouvaient mes amis qui étaient assis sur la table et qui paraissaient savoir que je parviendrais à eux. Derrière eux, se trouvaient des policiers qui tenaient dans leurs mains ma photo. Je me retourne alors pour voir le surveillant, mais je le vois pointer aussitôt son fusil contre mon dos. ''Lève tes mains dans les airs '', s'écria l'un des policier, un homme costaud tel qu'Hercule. Son regard était froid et insensible, il me terrifiait. Par crainte d'être arrêtée, j'ai essayé de m'enfuir, mais c'est alors que le surveillant me poussa et que je tomba à terre. << Ça suffit, arrête de t’échapper et assume ce que tu as fait, avoue que c’est toi qui as empoisonné notre ami en mettant du poison dans sa boisson !>>, Hurla Jules, un ancien ami. Mes jambes élancées tremblaient vigoureusement. Comment pouvait-il exposer nos secrets  ? Il venait tout juste de briser les liens d’amitié qu’on tissait  depuis notre enfance. C’est alors que le surveillant dévoila son identité de FBI pour montrer qu’il faisait partit du plan. Mes amis ont tous dévoilé les meurtres, les vols et les empoisonnements que j’ai commis dans les années auparavant. J’étais coincée, sans point de retour, il fallait que je dise la vérité sur ce qui s'était vraiment passé. Mais devais-je vraiment me mettre en péril ?
  • En entrant dans le cinéma, je crus reconnaître la voiture de mes amis stationnée devant, mais incertaine, j'y rentrai seule. Je n'ai pas vu le surveillant immédiatement. Je l'ai cherché quelques minutes pour enfin le trouver dans la même chambre que l'autre jour. Il m'a fait un signe de la tête pour me dire d'attendre quelques instants. Je me suis confortablement installée sur un banc en bois, pas très à l'aise, j'ai patienté calmement. L'attente m'a semblé durer une éternité. Finalement, une heure plus tard, le garde est arrivé ainsi je lui remis l'argent demandé. Tout en souriant malicieusement, sournoisement et cruellement, il empocha la somme. Alors que je m'apprêtais à partir, l'incident se posa. Il me prit par le bras en mettant sa main sur ma bouche pour ne pas que je fasse de bruit. Mon intimidateur m'a tranquillement guidé dans la chambre située à quelques mètres de lui. Dans cette pièce délabrée, sombre et lugubre se trouvaient mes amis assis autour de la table et qui paraissaient savoir que je parviendrais à eux. A l'arrière, se tenaient des policiers ma photo dans leurs mains. J'eus le réflexe de me retourner le surveillant, mais celui-ci pointa son fusil sur mon dos. ''Lève tes mains '', s'écria l'un des policiers, un homme costaud tel qu'Hercule. Son regard froid et insensible me terrifia. De peur d'être arrêtée, j'essayai de m'enfuir, mais à ce moment précis, le surveillant me poussa et je tombai. << Ça suffit, arrête de t’échapper et assume ce que tu as fait, avoue que c’est toi qui a empoisonné notre ami en mettant du poison dans son boisson !>>, hurla Jules, un ancien ami. Mes jambes tremblaient vigoureusement. Comment pouvait-il exposer nos secrets ? Il venait tout juste de briser les liens d’amitié tissés depuis notre enfance. C’est alors que le surveillant dévoila son identité, agent du FBI. Mes amis ont tout dévoilé les meurtres, les vols et les empoisonnements que j’avais commis les années auparavant. J’étais coincé, sans point de retour, il fallait que je dise la vérité de ce qui s’est vraiment passé. Mais devais-je vraiment le faire ? 

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