Réécrivez ce texte au présent de l'indicatif Ce fut comme une apparition : Elle était assise , au milieu du banc , toute seule ; ou du moins il ne distingua p
Français
hasnadior
Question
Réécrivez ce texte au présent de l'indicatif
Ce fut comme une apparition :
Elle était assise , au milieu du banc , toute seule ; ou du moins il ne distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux .
En même temps qu'il passait , elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis plus loin , du même côté , il la regarda . Jamais il n'avait vu cette splendeur de sa peau brune , la séduction de sa taille , ni cette finesse des doigts que la lumière traversait . Il considérait son panier à ouvrage avec ébahissement , comme une chose extraordinaire
Ce fut comme une apparition :
Elle était assise , au milieu du banc , toute seule ; ou du moins il ne distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux .
En même temps qu'il passait , elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis plus loin , du même côté , il la regarda . Jamais il n'avait vu cette splendeur de sa peau brune , la séduction de sa taille , ni cette finesse des doigts que la lumière traversait . Il considérait son panier à ouvrage avec ébahissement , comme une chose extraordinaire
2 Réponse
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1. Réponse manoucorsica
C'est comme une apparition
Elles assise, au milieu du banc,toue seule,ou du moins il ne distingue personne, dans l'éblouissement que lui envoient ses yeux. En même temps qu'il pase, elle lève la tête ; il fléchit involonlontairement les épaules ; et quand il est mis plus loindu meme côté, il la regarde. Jamais il ne voit cette splendeur de sa peau brune, la séduction de a taille, nicette finesse des doigts que la lumière traverse, il considère son panier à ouvrage avec ébahissement, comme une cose extraordinaire -
2. Réponse AskAnswerd
C'est comme une apparition:
Elle est assise,au milieu du banc,toute seule,ou de moins il ne distingue personne, dans l'éblouissement que lui envoient ses yeux.
En même temps qu'il passe,elle lève la tête,il fléchit involontairement les épaules; et,quand il est mis plus loin,du m^me coté,il la regarde. Jamais il n'a vu cette splendeur de sa peau brune,la séduction de sa taille,ni cette finesse des doigts que la lumière traverse?. Il considère son panier à ouvrage avec ébahissement,comme une chose extraordinaire.
Facile,non? De rien!